Aller droit au but

Dans la rédaction d’une offre d’emploi, le plus important est de fournir les informations essentielles. Il faut mentionner la mission, le lieu de travail, la rémunération ainsi que les avantages. L’idéal est de les placer à l’en-tête de l’annonce pour que les internautes puissent les voir dès qu’ils jettent un coup d’œil à l’offre. Pour ne prêter aucune confusion, rédigez les détails de votre offre de façon simple, claire et précise. Préférez un titre accrocheur pour inciter le lecteur à continuer de lire l’annonce. Pour donner envie à la personne de lire entièrement le document, évitez de l’écrire trop long.

Utiliser un ton approprié

Pour trouver les talents que votre entreprise a besoin, il est indispensable de choisir un ton approprié. Préférez un style d’écriture formel tout en restant dans le ton accessible et amical. Dans la description, le copier-coller est à éviter car cette technique n’est pas du tout attractive. L’idéal est de personnaliser l’annonce d’emploi pour montrer votre originalité. Elle doit aussi être cohérente et lisible. Et pour rendre l’annonce plus visible sur le web, n’hésitez pas à ajouter des mots-clés.

Inciter les lecteurs à envoyer une candidature

Appeler à l’action, c’est le but d’une annonce d’emploi. Ainsi, dans sa rédaction, il est indispensable de trouver la meilleure formulation. Parmi les plus utilisées figurent notamment : « envoyez-nous votre candidature maintenant » et « postulez maintenant ». N’oubliez pas de communiquer votre adresse e-mail. Souvent, les offres où on est encore obligé de chercher les informations de contact n’attirent pas les candidats. Les fautes d’orthographe ne sont pas tolérées, donc faire une relecture est de mise.

1. L’intelligence artificielle, c’est quoi ?

L’IA ou l’intelligence artificielle est un ensemble de systèmes permettant d’imiter l’intelligence de l’Homme. Ceci est rendu possible grâce à des systèmes informatiques, des algorithmes ainsi que des données spécifiques. Ainsi, des ordinateurs ou des machines peuvent fonctionner de manière autonome, ce qui facilite l’exécution de certaines activités. Entre autres, l’IA donne la possibilité de gagner en performance notamment dans les domaines médicaux, industriels et juridiques. Elle est aussi bien présente dans une multitude de secteurs professionnels comme les médias, le marketing ou l’aéronautique.

2. Les formations pour travailler dans l’intelligence artificielle

Si vous espérez travailler dans le domaine de l’intelligence artificielle, il faut détenir au préalable une licence en IA et Business ou autre master de même spécialité. Aujourd’hui, vous pouvez vous inscrire à un cycle Bachelor en IA et Business ou un cycle Master en IA et Management. Pour le premier, la formation va vous permettre de vous familiariser aux outils de l’intelligence artificielle. Au programme, vous avez par exemple des mathématiques, de la programmation IA ainsi que des bases sur le management et la gestion de projet. En ce qui concerne le cycle Master en IA, la formation vous apporte une connaissance plus approfondie sur l’intelligence artificielle. Durant votre parcours, notamment pour celui du Data Analyst, vous êtes confronté à des cours plus poussés en mathématiques et en programmation.

3. Les débouchés professionnels

Après votre formation, plusieurs perspectives s’offrent à vous. Les étudiants sortants d’un établissement en IA peuvent occuper des postes clés comme directeur de l’innovation, chargé de recrutement dans l’IA, consultant IA ou analyste des données. Étant donné que cette spécialité englobe plusieurs secteurs d’activités, les possibilités de carrière professionnelle ne vous font pas du tout défaut.

Qu’est-ce que le motion design ?

Le motion design est une discipline artistique composée de création artistique et numérique, et d’animation. C’est un secteur qui connaît une évolution incessante grâce au développement technologique du moment et aux styles graphiques régulièrement en évolution. Avec une formation en motion design, vous pouvez intégrer de multiples domaines : les entreprises du web, le cinéma, les jeux vidéo ou encore la publicité.

Pour travailler dans le secteur du motion design, il est nécessaire d’avoir certaines qualités : la créativité, la connaissance de quelques logiciels, le sens de l’écoute, la communication, etc.

Métier 1 : motion designer

Le premier débouché d’une formation en motion design est le motion designer, où la personne chargée d’animer des images numériques. À partir de cela, elle crée des génériques, des publicités, des effets spéciaux, des petits films animés, etc.

Le motion designer peut travailler pour des chaînes de télévision, des entreprises de publicité, des entreprises du web, etc. Il travaille en équipe avec d’autres professionnels du domaine technique et de la création. Lorsqu’il exerce ses tâches, le ou la motion designer est très attentif, minutieux, créatif, passionné et compétent.

Métier 2 : chef de projet

Après une formation en motion design, vous pouvez aussi devenir un chef de projet. Ainsi, vous coordonnerez et piloterez un projet, tout en proposant une stratégie solide. Vous serez un chef d’orchestre puisque vous travaillerez avec une équipe : des graphistes, des développeurs web, des chefs de produit, etc.

En étant chef de projet, votre mission principale est d’élaborer un cahier des charges et de le prendre en main. Vous allez l’exécuter, tout en analysant les besoins. Pour ce faire, vous allez d’abord préparer un calendrier des différentes étapes du projet, solliciter l’aide de votre équipe, organiser les réunions nécessaires, et déterminer le délai d’exécution du projet.

Métier 3 : directeur artistique

L’un des métiers courant d’une formation en motion design est le directeur artistique. C’est une personne qui s’occupe de l’identité visuelle d’une marque et de son évolution, surtout sur le web. Ses missions sont assez nombreuses. Premièrement, il doit étudier les enjeux de la stratégie de communication de l’entreprise, que ce soit en termes d’événements, de planning ou de budget.

Deuxièmement, il choisit les personnes qui formeront son équipe. Dans le cadre de cette mission, il travaillera en partenariat avec le directeur créatif. Enfin, avec son équipe, il organise la réalisation des différents éléments de communication visuelle. Il anime la réflexion artistique et coordonne la production des éléments créatifs.

Métier 4 : animateur 2D/3D

Le dernier métier le plus courant après une formation en motion design est l’animateur 2D/3D. Comme le motion designer, il donne vie aux images, mais en plus sophistiqué. Il utilise la technique du 2D et du 3D pour que les objets et les personnages soient les plus réalistes possible. Son objectif est d’éblouir les pupilles des spectateurs.

L’animateur 2D/3D travaille surtout pour une entreprise de jeux vidéo, de films ou de dessins animés. Pour réaliser son travail, cette personne se sert d’une tablette graphique et de logiciels complexes. L’animateur doit avoir des compétences informatiques et des affinités artistiques.

Quelques avantages offerts par le métier de recruteur :

Un salaire motivant

Les recruteurs touchent un salaire élevé en raison du fait qu’ils se font payer selon
leur performance. Les recruteurs sont les piliers de toute entreprise, car l’avenir de l’entreprise dépend de leur performance et de leur expertise. Une bonne rémunération motive le recruteur. La motivation est l’essence à l’atteinte des objectifs. Donc du succès de la boîte.

Une occupation diversifiée

Travailler en tant que recruteur est loin d’être une routine monotone. Chaque jour est unique. Vous disposez d’un degré d’autonomie et de flexibilité élevé. Rien ne vous oblige à rester derrière votre bureau tous les jours. Vous avez parfaitement le droit de passer une journée dehors. Les sorties consistent à assister à des rendez-vous clients ou à rencontrer des candidats pour une négociation des tarifs contractuels ou encore de participer à un événement. Un entretien ainsi que la finalisation des détails importants peuvent tout à fait aussi se faire ailleurs que dans le bureau.

Un challenge

Le poste de consultant en recrutement est une occupation qui demande de l’indépendance et de la confiance en soi. Ce métier n’est pas fait pour n’importe qui, il faut être une personne débrouillarde.
Ce qui fait que ce poste soit un challenge, c’est parce qu’il requiert de la détermination, de la créativité, de la flexibilité et de la résistance. Pour faire court, être recruteur est synonyme de personne coriace.
Sans parler du fait que votre efficacité va participer à la croissance de l’entreprise. En même temps, il permet d’aider les personnes en leur offrant du travail.

Les formations à suivre

Pour devenir enseignant, il faut suivre cinq ans d’études, dont les deux dernières années sont consacrées à l’exercice du métier et à la préparation au concours. La première étape que vous devez franchir est donc l’obtention de la licence. Pour cela, vous devez choisir une discipline spécifique, par exemple les lettres, l’histoire-géographie, les mathématiques, les langues ou les sciences. Après la licence, vous devez choisir des options. Puis, vous devez vous inscrire en master MEEF qui comprend aussi différentes mentions, dont le premier degré pour être professeur des écoles, le deuxième degré pour être enseignant du secondaire et l’encadrement éducatif pour être un conseiller d’éducation. La première année en master MEEF est principalement dirigée sur la préparation au concours pour le recrutement qui se déroule généralement à la fin de l’année. Néanmoins, les admis devront encore finir la deuxième année pour obtenir le diplôme et exercer le métier. A noter que les masters MEEF sont ordonnés au sein des universités par les Instituts nationaux supérieurs du professorat et de l’éducation. Pour passer le concours, il faut réussir deux épreuves écrites, dont les français et les mathématiques, ainsi que trois épreuves orales, dont la troisième est la langue étrangère. Si l’étudiant échoue au concours, il pourra le repasser ou choisir une réorientation vers un autre master. Quant à la seconde année en master MEEF, les étudiants devront suivre une formation en alternance et en même temps faire des stages qui leur permettent de recevoir 2.076 euros brut par mois.

Les autres concours permettant de devenir enseignant certifié dans le public

Il existe aussi d’autres concours permettant de devenir enseignant certifié dans le public. C’est notamment le cas du CAPEPS ou certificat d’aptitude au professorat d’éducation physique et sportive qui est réservé aux titulaires d’une licence STAPS qui veulent exercer le métier de maître d’éducation physique et sportive. Puis, il y a également le CAPET ou certificat d’aptitude au professorat de l’enseignement technique qui est dédié pour ceux qui désirent enseigner dans des disciplines comme l’économie, les sciences industrielles de l’ingénieur, la gestion ou l’esthétique-cosmétique. Enfin, il y a aussi le CAPLP ou Certificat d’aptitude au professorat de lycée professionnel qui est réservé pour ceux qui veulent devenir enseignant en lettres, en histoire-géographie, en arts appliqués ou encore en génie mécanique.

Au coeur du métier

Vous aurez à vous occuper de personnes qui ont des problèmes de déprimes, de mal-être et de troubles du comportement. Vous devez écouter patiemment et activement chaque client étant donné que chaque cas est différent. Même face aux patients les plus fermés et les plus introvertis, vous devriez trouver un moyen de les faire parler pour qu’ils déchargent ce qu’ils ont dans le coeur. En effet, c’est seulement à cette condition que vous pourriez mieux les comprendre et savoir comment les aider efficacement à aller mieux. Vous ne devez surtout pas les juger, cela ne leur sera pas d’un soutien. Pour information, vous ne pourrez pas prescrire des médicaments, cela revient aux médecins et aux psychiatres.

Le cursus

Si le métier de psychologue vous attire, il n’y a qu’un seul moyen d’y parvenir, c’est le Master de psychologie (bac+5). Selon vos ambitions et vos affinités, après la licence, vous pourriez vous spécialiser dans le domaine qui vous intéresse, par exemple la psychologie clinique, la criminologie, la psychologie du travail, la psychologie scolaire, etc. Mais outre les connaissances et l’aspect purement technique du métier, vous devriez surtout posséder, développer des qualités humaines telles que la bienveillance, le sens de l’analyse. Vos patients devraient se sentir tout de suite en confiance en votre présence et libres d’épancher leurs coeurs. Toutefois, vous devriez trouver le parfait équilibre entre un bon relationnel et la distance nécessaires avec les patients.

Le métier de jardinier

Être un jardinier est un métier à plein temps qui varie selon la saison. Un jardinier peut être amené à créer un jardin ou l’aménager ou à faire son entretien au quotidien (arrosage, débroussaillage…). Les tâches d’un jardiner est en général défini en fonction des besoins de son employeur. Mais parmi les missions les plus demandées, il y a notamment la préparation du sol pour un travail de bêchage et de désherbage. Un jardinier peut aussi être appelé à remplacer les différentes plantes et à faire le nécessaire pour les protéger. Il s’occupe également de divers travaux d’entretien comme le binage, le ramassage des feuilles, le décapage des mousses, etc. Il peut aussi s’occuper de l’entretien de la pelouse et du passage au rouleau. Il prend par ailleurs en charge le taillage des arbres et arbustes. Il s’occupe également de l’entretien des outils utilisés et il peut faire des travaux de maçon comme la pose de pavés, de bordures et de dalle.

Les formations à suivre pour devenir jardinier

Détrempez-vous, comme chaque travail, le métier de jardinier nécessite une formation. Vous pouvez notamment devenir jardinier à partir d’un niveau CAP. Pour cela il y a le CAP agricole en jardinier paysagiste, le CAP en métier de l’agriculture, le CAP en travaux paysagers ou le CAP en agricole production horticole ainsi que le BPA ou brevet professionnel agricole. À partir d’un niveau bac, vous pouvez obtenir un certificat bac pro. Il y a par exemple le bac pro en travaux paysagers, en production horticole, en science, en technologie et en agronomie. Il y a aussi le brevet de technicien supérieur agricole BTSA, le BTS aménagement paysage et les certificats de spécialisation ou CS. En outre, il faut un certificat d’aptitude CACES et un permis de conduire E, B ou C pour être un jardinier professionnel.

Les qualités requises pour être jardinier

Pour être jardinier, il faut également avoir des qualités. Il faut forcément avoir la main verte et avoir une notion des différents végétaux, leur essence, leur développement, les périodes de floraisons, etc. Il faut aussi connaître les techniques de plantation comme l’engazonnement. Par ailleurs, il faut aussi être précis et soigné, avoir un grand sens de créativité et de l’esthétique. Enfin, pour être jardinier, il faut être sensible aux questions de développement durable, de l’écologie et de l’environnement.

Le métier d’expert en bâtiment

L’expert en bâtiment est un professionnel œuvrant dans la construction et le bâtiment. Il possède de solides expériences dans le domaine de la construction et maîtrise divers techniques comme la structure, les gros œuvres et les secondes œuvres techniques. L’expert en bâtiment peut être indépendant ou salarié dans une entreprise de construction. Les missions d’un expert en bâtiment sont multiples. D’abord, il joue le rôle de conseiller. Il fait part de ses connaissances et ses analyses techniques au client, puis il lui propose un budget. Il peut à la fois intervenir sur un bâtiment après un sinistre ou une imperfection ainsi que dans le cadre d’une rénovation ou d’une réfection. Dans la réalisation de son travail, il applique à la lettre les normes et les réglementations en vigueur. En outre, les entreprises, les particuliers, mais aussi les assurances peuvent faire appel au service d’un expert en bâtiment pour résoudre des conflits judiciaires, des pathologies, faire de l’expertise ou de la contre-expertise. Pour réaliser toutes ces tâches, un expert en bâtiment doit avoir certaines qualités. Il doit notamment être impartial, objectif, créatif et avoir le sens de la minutie. Il doit aussi savoir respecter scrupuleusement la déontologie de son ordre professionnel.

Les formations à suivre pour devenir expert en bâtiment

L’expert en bâtiment doit disposer d’une formation initiale en technique de construction et posséder une grande expérience professionnelle dans les activités du bâtiment. Il doit au moins avoir entre 5 à 10 ans d’expérience, dont une partie passée sur un chantier. En plus de la formation initiale qui permet d’obtenir un diplôme bac+5, il doit suivre des formations professionnelles et continues. Ces formations doivent être spécifiquement liées aux pathologies des bâtiments. Elles doivent également être approfondies pour que l’expert puisse réaliser les expertises sur tout l’ensemble du bâtiment, allant du plan technique aux normes requises. Enfin, il faut compléter les acquis techniques par des connaissances juridiques approfondies afin de pouvoir être un intervenant dans l’application de garanties de contrat d’assurance et jouir du statut d’expert judiciaire en bâtiment et travaux.